L’ONU a indiqué qu’environ 50 000 femmes et filles ont été tuées par leurs partenaires intimes ou des membres de la famille en 2024, tandis que John Brandolino et Belén Sanz soulignent les dangers auxquels les femmes font face, notamment à domicile, ainsi que la menace croissante de la violence numérique comme les deepfakes.L’Allemagne a dénombré 132 femmes tuées lors de violences domestiques et une hausse des cas, conduisant Karin Prien à qualifier ces chiffres de « dramatiques » et Sarah Hendricks à insister sur la nécessité de réformes légales urgentes.La campagne « 16 Days of Activism against Gender-Based Violence » a été lancée pour combattre les abus physiques et numériques, l’ONU mettant l’accent sur la gravité du féminicide et la vulnérabilité des femmes dans la sphère publique, comme l’a souligné Sanz.