Giorgia Meloni a déclaré qu'elle soutient l'Ukraine, a averti que l'abandon du soutien encouragerait une invasion russe qui augmenterait les coûts et déstabiliserait la région, et a approuvé la mise en œuvre du plan pour Gaza proposé par Donald Trump liant la reconnaissance de la Palestine au désarmement du Hamas.Meloni a défendu l'approche de sécurité nationale de Trump, a appelé l'Europe à l'autonomie en matière de sécurité, a présenté sa position comme la paix par la force plutôt que la bonne volonté, et a été confrontée aux réserves du vice‑premier ministre Matteo Salvini qui a appelé à la prudence sur l'aide militaire.Le philosophe
Massimo Cacciari et
Guido Crosetto ont critiqué la couverture médiatique, le réarmement de l'EU et les choix de dépenses du gouvernement, tandis que Meloni ne participera pas à une réunion de dirigeants axée sur l'Ukraine qui intervient après le lancement de missiles hypersoniques sur Kyiv par
Vladimir Putin.