Meta Platforms est dans la tourmente après une enquête de
Reuters qui a révélé des documents internes montrant que l’entreprise laissait diffuser sur
Facebook,
Instagram et
WhatsApp d’importants volumes de publicités frauduleuses et interdites provenant de Chine pour protéger ses revenus publicitaires. Des revues internes et une étude de
Propellerfish ont conclu qu’environ 19 pour cent des recettes publicitaires liées à la Chine l’an dernier — plus de $3 milliards sur environ $18,4 milliards — provenaient d’arnaques, de jeux illégaux, de pornographie et d’autres contenus prohibés, que l’application des règles avait été temporairement renforcée jusqu’à 9 pour cent puis que le taux est remonté à environ 16 pour cent à la mi‑année.